La rentrée du Oaïstern commence par un bel article de Gwenola Gabellec :
La Provence – mardi 30 septembre
et par celui de François Maliet :20 minutes – mardi 30 septembre
Djam Deblues s’échauffe déjà sur Facebook :
Et puis mardi en fin d’après-midi…
Au sommet du bateau ivre, nous observions le déluge. Météo France a tort, la météo agricole aussi. Il pleut à torrent et jusqu’au bout de la nuit. Conseil de guerre. Nous relevons le défi : Joos, Djam, Mutacion Nacion, l’Association des habitants du Corbusier modifient leur programme. Le Oaïstern se mobilise et décide de se produire le lendemain mercredi sur le toit-terrasse ensoleillé de La Cité radieuse.
Deux heures après l’envoi de cette nouvelle aux réservations déjà effectuées, le spectacle affiche à nouveau complet.
Mercredi : beau temps et course contre la montre…
Patxi Beltzaiz mitraille en photos.
Sous l’œil vigilant de Joë Hamman !
À 20 h 30 tapantes…
Yzavé prend le micro :
» Mesdames et messieurs bienvenue dans le Oaïstern
Le ciné-concert des mauvais genres, le cinéma mal famé, le cinéma des frissons !… »
DJ Luc Sky enchaîne avec Le Railway de la mort
Jagdish & Giorgio Munna galopent dans La Prairie en feu
Les Alain Sous Champ’ soudoient le pasteur dans Mariage au révolver
Djam Deblues détourne les mineurs dans Pendaison à Jefferson City
Mutacion Nacion, alias Rotacion Nacion, relève le défi dans 100 dollars mort ou vif
Et le Oaïstern Orquestra se rassemble sur le générique
Le Ciné-Concert, pour ce mercredi c’est fini !
Merci à tout le Oaïstern !
Merci au Corbusier !
Et à bientôt pour de nouvelles aventures !
¡Que viva Oaïstern!